Ils sont des milliers à venir du monde entier pour se rendre à la chapelle de la médaille miraculeuse, rue du Bac, au cœur de Paris ; parmi ces pèlerins, de très nombreux catholiques d’Outre-mer. Pourquoi sont-ils si nombreux à se déplacer ? Quelle est l’histoire de cette médaille et qu’ y a-t-il de particulier dans cette dévotion ?

Cette semaine, Dieu m’est témoin cherche à comprendre pourquoi les catholiques d’Outre-mer aiment tant cette médaille. Sur le plateau, la sœur Laurice Manuka, walisienne et Fille de la charité, vient nous dire pourquoi elle est profondément attachée à ce lieu de pèlerinage.  Le frère Éric-Thomas Macé, dominicain, réunionnais, récemment rentré d’une visite en Nouvelle-Calédonie, témoigne de l’immense ferveur qui existe dans le Pacifique pour cette vierge aux mains ouvertes.

Reportages

Depuis Cayenne, Dieu m’est témoin a suivi Ruth jusqu’à Paris, où elle commence chacun de ses pèlerinages par une prière à la chapelle de la rue du Bac.

A La Réunion, Dieu m’est témoin s’est rendu à l’Ermitage, seule chapelle dédiée à la médaille miraculeuse, où chaque année le père Torpos célèbre une messe dédiée à cette médaille à l’issue d’une neuvaine, fête que Fabienne et Lucet Auré, ne manqueraient sous aucun prétexte.