L’Église est-elle riche ? De quoi vit elle et comment fait-elle face à la perte de ses revenus après le confinement ? Comment dépense-t-elle son argent ? Les catholiques sont-ils plus généreux en temps de crise ou ont-ils tendance à considérer l’Église comme un service ? Les diocèses d’Outre-mer connaissent-ils eux aussi des difficultés financières ?
Cette semaine, Dieu m’est témoin s’est interrogé sur les finances de l’Église.
Nous recevons Hervé Giaume, l’ancien économe de Versailles en région parisienne. Il nous parle des échanges très réguliers qu’il avait en tant que coordinateur de la Province de Paris, avec les économes des diocèses d’Outre-mer. Nous étions connectés avec la Guyane, toujours régie par une ordonnance royale de Charles X du 27 août 1828, posant le principe de la rémunération des prêtres catholiques par la collectivité publique.
Nous sommes allés à La Réunion suivre le quotidien de Virginie Sanmartin, l’économe du diocèse. Elle nous parle des réalités de sa mission et du travail de terrain qu’elle effectue auprès des paroisses de l’île.
Nous sommes également allés en Nouvelle Calédonie, au sein de la paroisse Saint-Jean-Baptiste à Nouméa, voir comment cette paroisse s’organise financièrement.